tag:blogger.com,1999:blog-16617060.post1899963378076900319..comments2024-03-28T11:03:41.783+01:00Comments on Architecture Organisationnelle: Organisation et ManagementYves Caseauhttp://www.blogger.com/profile/04812034190333969728noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-86897658254418228832010-07-17T17:16:18.442+02:002010-07-17T17:16:18.442+02:00Et merci pour m'avoir introduit à l'exposé...Et merci pour m'avoir introduit à l'exposé génial d'Elizabeth Gilbert !Yves Caseauhttps://www.blogger.com/profile/04812034190333969728noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-89216859042047998962010-07-17T17:11:22.559+02:002010-07-17T17:11:22.559+02:00Merci beaucoup et doublement : (1) pour le feedbac...Merci beaucoup et doublement : (1) pour le feedback positif (2) pour la citation, que j'apprécie également !<br /><br />Je me prépare doucement à transformer une partie de ce blog en livre, donc je vais m'interrompre d'ici un mois pour commencer la rédaction.Yves Caseauhttps://www.blogger.com/profile/04812034190333969728noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-8224601934598579502010-07-09T07:23:30.584+02:002010-07-09T07:23:30.584+02:00Bonjour,
merci de partager tout cela avec nous. Et...Bonjour,<br />merci de partager tout cela avec nous. Et merci pour ces réflexions passionnantes.<br /><br />J'ai été saisi par le résumé des idées clefs du premier bouquin : deux points suffisent à mon sens et sont à la source des autres. <br /><br />L'importance mise sur les personnes est clairement primordiale ; la "confrontation brutale et répétée avec la réalité" dépasse de loin toutes les autres conditions de réussite : aucune ne donnerait des fruits sans cette confrontation. C'est l'esprit même de la science que cette confrontation avec le réel. Cela force à remettre en cause, toujours, ce que l'on construit. C'est le doute.<br /><br />Une petite citation, dont je suis aussi friant :<br /><br />« Le doute est le sel de l’esprit ; sans la pointe du doute, toutes les connaissances sont bientôt pourries. J’entends aussi bien les connaissances les mieux fondées et les plus raisonnables. Douter quand on s’aperçoit qu’on s’est trompé ou que l’on a été trompé, ce n’est pas difficile ; je voudrais même dire que cela n’avance guère ; ce doute forcé est comme une violence qui nous est faite ; aussi c’est un doute triste ; c’est un doute de faiblesse ; c’est un regret d’avoir cru, et une confiance trompée. Le vrai c’est qu’il ne faut jamais croire, et qu’il faut examiner toujours. L’incrédulité n’a pas encore donné sa mesure. Croire est agréable. C’est une ivresse dont il faut se priver. Ou alors dites adieu à liberté, à justice, à paix. »Lomig Ungerhttp://www.lomigunger.com/blog/noreply@blogger.com