tag:blogger.com,1999:blog-16617060.post115420557587995089..comments2024-03-09T07:09:38.021+01:00Comments on Architecture Organisationnelle: Le "Lean Knowledge Worker"Yves Caseauhttp://www.blogger.com/profile/04812034190333969728noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-27962028462331253372007-12-02T17:54:00.000+01:002007-12-02T17:54:00.000+01:00L'optimisation d'une boîte au lettre individuelle ...L'optimisation d'une boîte au lettre individuelle va probablement passer par celle du processus dans lequel cette personne intervient ... Quelques <A HREF="http://blog.octo.com/index.php/2007/11/19/58-8eme-seminaire-lean-en-france-8-octobre-2007" REL="nofollow">exemples issus du Séminaire Lean de l'ENST</A>.<BR/><BR/>Un exemple de <A HREF="http://blog.octo.com/index.php/2007/12/01/59-muda-i" REL="nofollow">muda</A> en ingénierie logicielle.<BR/><BR/>Bonne continuation !Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-29088427161941746362007-11-01T09:17:00.000+01:002007-11-01T09:17:00.000+01:00Excellent commentaire qui renvoie à une problémati...Excellent commentaire qui renvoie à une problématique (ancestrale ?), la gestion optimale du temps individuel et la collision entre les temps individuels et les temps collectifs. Au fond nous sommes poussés par notre agenda plutôt que nous ne le pilotons. Et les technologies de l'information deviennent les auxiliaires de cet asservissement alors que nous avions tous rêvé qu'elles nous en libèrent. <BR/>Cette temporalité de la déciison et de l'action est une des réflexions structurante du laboratoire de Paris-Dauphine, dont je suis fier d'être un de membre en tant que professeur associé, le CREPA, qui sous la plume d'henri Isaac, Eric Campoy et Michel Kalika, a publié (notamment) ce texte qui estparfaitement en phase avec ton analyse :<BR/>http://www.crepa.dauphine.fr/documents/R/doc_jCMTNh.pdf.<BR/><BR/>De façon générale, on constate que les pratiques managériales n'ont guère évolué depuis la généralisation des outils de masse de traitement de l'information en entreprise, car les outils s'ajoutent plutôt qu'ils ne se complétent et le lien physique ne se dissout pas dans la relation électronique, ce dont on peut se réjouir tout en regrettant que le mode de fonctionnement des entreprises "numériques globales" ne se soit pas encore puissamment transformé pour que l'intelligence se concentre sur l'essentiel et non pas trop souvent sur l'accessoire que l'on peut aisément confier à des automates.<BR/><BR/>Jean-Pierre Corniou<BR/>http://www.jeanpierrecorniou.typepad.com/Anonymousnoreply@blogger.com