tag:blogger.com,1999:blog-16617060.post115130016668691771..comments2024-03-28T11:03:41.783+01:00Comments on Architecture Organisationnelle: Bonnes vacances à tous ...Yves Caseauhttp://www.blogger.com/profile/04812034190333969728noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-50219441099744127862007-06-02T16:12:00.000+02:002007-06-02T16:12:00.000+02:00L'intérêt d'une modélisation générique des organis...L'intérêt d'une modélisation générique des organisations ne m'apparaît pas encore clairement. Il me semble en effet que <B>des facteurs d'ordre 1 dépendant des métiers influencent considérablement les réseaux sociaux</B>. Peut-être puis-je aider en évoquant le cas des directions informatiques. La plupart des DSI présentent les tropismes classiques d'une bureaucratie (<I>organisation centrée sur la tâche</I> du processus) : grosses directions fonctionnelles et hyper-spécialisation. Le processus principal, qui consiste à construire de nouvelles fonctionnalités, nécessite la traversée de plusieurs U (U cahier des charges, U stratégie d'architecture, U développement, U tests, U exploitation, etc.) avec allers-retours dans H. Cette organisation souffre d'atroces latences, et d'une chute de productivité avec la taille du patrimoine applicatif. Elle n'est que récente. Il y a 10 ans, l'<I>organisation était plutôt centrée sur le produit</I>, les applications informatiques, c'est à dire des U autonomes et efficaces, mais une subsidiarité dont le prix était l'hétérogénité des solutions développées, au détriment de la sécurité et de l'intégration de l'ensemble (mot de passe à ressaisir, données distordues, ruptures d'automatismes dues à des incompatibilités). On a donc vu les DSI évoluer d'un modèle en boucles fermées (centré sur le produit) nà un modèle en boucles ouvertes (centré sur la tâche du process) pour des raisons d'homogénéité. Qu'aurait donc donner notre simulation générique ? En quoi peut-elle aider la DSI ? Cette analyse par <I>pattern</I> n'est-elle pas un modèle, certes plus frugal, mais permettant l'action, le changement ? Ici le changement serait de <B>redonner un coup de balancier vers l'organisation en boucles fermées, tout en tirant parti des innovations techniques et méthodologiques pour gérer le problème crucial de l'interopérabilité</B> (intégration et sécurité)... Au final un <B>facteur d'ordre 1</B> qui préside à ce choix d'organisation est <B>la capacité à réduire la complexité des interfaces entre applications</B>, c'est à dire à standardiser le domaine métier (modèle de données partagé, fédération des jeux de tests) et les tuyauteries techniques (transfert de message, de fichiers ..). <BR/>Hope it helps.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-1163326604345568762006-11-12T11:16:00.000+01:002006-11-12T11:16:00.000+01:00Bonjour Olivier,le point n'était pas le calcul de ...Bonjour Olivier,<BR/><BR/>le point n'était pas le calcul de la diminution de la latence du mail par rapport au papier (je suis d'accord, ca ne serait pas une surprise :)) mais plutot l'évaluation de l'impact de cette diminution (cf. mon message du jour : c'est cela qui fait débat).<BR/><BR/>Ta remarque sur la verticalité est ingéressante: il faudrait étudier les réseaux sociaux constitués par les mails. Cela existe peut-être, je vais me renseigner en poursuivant ma découverte de CMC.<BR/><BR/>A+<BR/>-- YvesYves Caseauhttps://www.blogger.com/profile/04812034190333969728noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-16617060.post-1159950082148137082006-10-04T10:21:00.000+02:002006-10-04T10:21:00.000+02:00Bonjour Yves, Tu as calculé que le mail faisait di...Bonjour Yves, <BR/>Tu as calculé que le mail faisait diminuer la latence par rapport au papier: c'était sans doute prévisible.Question : est ce qu'une messagerie instantanée "évoluée", qui permette de structurer l'information ne permettrait pas d'obtenir une latence encore moindre?<BR/>Il y a un autre élément à prendre en compte : les effets pervers de l'email (chaque mode de communication en possède, j'en conviens).<BR/>Le mail renforce la verticalité des organisations et ne favorise pas les échanges transverses et "ouverts"; il est un outil utile pour les petites gens (souvent haut placés) qui gardent l'information ("l'information c'est le pouvoir"). Ce sujet, je pense mérite réflexion et peut constituer un input utile dans tes calculs d'efficacité des organisations.<BR/>Au plaisir de te voir continuer ce blog ! OlivierAnonymousnoreply@blogger.com